Recherches par des fauconniers
Un des premier émetteurs Argos assez petit pour un faucon sacre
Les fauconniers ont organisé des recherches sur le faucon sacre pendant plus de 25 ans. Les premières études étaient menées par de vétérinaires qui tenaient les rapports des nombres qu’ils traitaient et des maladies qu’ils trouvaient chez ceux qui arrivaient de la nature. Ils ont développé l’implantation de microchips pour marquer les faucons d’une manière non invasive, d’abord pour les rapports vétérinaires et puis aussi avec les bagues pour les faucons sauvages. Les fauconniers ont aussi développé des techniques pour reproduire les rapaces dans des enclos et les relâcher dans la nature à des endroits ou les populations naturelles avaient été perdues.
L'utilisation d’émetteurs radio a aussi été initié par des fauconniers il y a presque 50 ans. Des émetteurs qui renvoies vers des satellites ont d’abord été employé par des fauconniers en Amérique du Nord mais sur des ours avant qu’ils deviennent assez petits pour être employé sur des aigles. Puis ils ont organisé des recherches à les faire assez petit pour les faucons. En cela ils furent aidés par les fauconniers qui ont organisé la première organisation de recherches et de conservation spécialement pour les oiseaux de proies.
Aujourd’hui vous pouvez aider à trouver plus de renseignements au sujet des endroits qui sont important pour les faucons sacres sauvages en parrainant des émetteurs pour suivre les oiseaux par satellite. Ceci va montrer leurs mouvements des aires de reproduction et de migration. Vous trouverez de la lecture à ce sujet dans la page Migration de ce site.
Etudes par marquage et piégeage.
Marquer votre jeune faucon sacre avec un micro chip.
Evidement au cours des derniers 4000 ans les fauconniers ont aussi développé la plupart des techniques pour piéger les rapaces. Il y plus de 20 ans, des fauconniers ont travaillé pour les Emirats Arabes Unis en marquant les faucons sacres au nid au Kazakhstan avec aussi bien des bagues que des micro-chips pour qu’ils puissent être rapporté par les piégeurs et dans les hôpitaux pour faucons s’ils étaient capturés. Ceci à pu aider à estimer combiens de jeunes faucons sacres du Kazakhstan étaient prélevés pour la fauconnerie.
En Arabie Saoudite le travail a commencé à estimer la santé de la population des faucons sacres à partir des rapports de piégeage. La vision vraiment excitante est d’être en mesure d’estimer la taille d’une population par la combinaison du marquage et du piégeage. Par exemple si 100 faucons sont marqués et plus tard 10 d’entre eux sont piégés, alors nous savons que le prélèvement est de 10 %. Cependant, si nous savons aussi que les 10 faucons sacres piégés avec marqueurs figuraient parmi un total de 200 faucons piégés, alors il y avait 20 fois plus d’oiseaux qui s’envolaient que ceux qui étaient marqués, ce qui faisait 2000 faucons à l’envol.
Construire des populations sauvages.
Un nid artificiel Dixon dans les steppes de Mongolie
Comme il y a beaucoup plus d’endroits avec une bonne populations de proies pour les faucons sacres qu’il n’y a de bonnes aires de reproduction, un travail intéressant par l’agence pour l’environnement de Abu Dhabi a été fait en Mongolie. C’était connu que des faucons sacres sauvages préféraient nicher à certains endroits, car on avait trouvé des nids sur des ponts et même au sol. Par conséquent des nids ont été construit pour les faucons sacres à partir de bidons en fer sur des pilônes, espacés de 1.5 km. Les faucons sacres ont adoptés ces nids pour se reproduire et la population locale a aidé à gérer ces sites.
Plus de 5000 nids artificiels ont déjà été mis en place et plusieurs ont été utilisé par des faucons sacres pendant plusieurs années de suite. En moyenne environ 2500 jeunes faucons sacres sont élevés dans ces nids chaque année. Cela montre comment construire une population saine ou on peut prélever pour la fauconnerie. En plus cette méthode peut être employé pour encourager les faucons sacres à se reproduire dans des endroits ou les rongeurs sont une nuisance pour les fermiers. Sur le plateau Qinghai Tibétain, ou plus de la moitié de la population globale des faucons sacres vit en hiver, les autorités ont construit plusieurs milliers de nids artificiels et d’endroits ou se percher dans les pâtures. Cette manière d’encourager les oiseaux de proies à s’installer et à se nourrir des nuisibles est maintenant utilisé dans plusieurs parties du plateau au lieu d’empoisonner les petits mammifères.
La ou les populations de faucons sacres ont disparu il est possible de les restaurer. En Asie, les faucons sacres sauvages qui ont été utilisés pour la fauconnerie sont relâchés chaque année sous le programme « the Sheikh Zayed Falcon Release Programme ». Des faucons sacres reproduits en captivité sont relâchés dans plusieurs pays. Un programme développé par l’agence de l’environnement de Abu Dhabi a vu en 2018 les premiers faucons sacres se reproduire en Bulgarie depuis plus de 20 ans.